Les réflexes archaïques

Agitation, anxiété, phobies …. et si c’était les réflexes ?

Remédier aux troubles moteurs, émotionnels et cognitifs par l’intégration des réflexes archaïques et la gestion des émotions … Ils sont fondamentaux pour l’élaboration du mouvement, le contrôle de la tête, le tonus musculaire.
Par l’intégration des sens, ils permettent un bon développement émotionnel et un stable état de sécurité intérieure.

Par l’intégration des sens, ils permettent un bon développement émotionnel et un stable état de sécurité intérieure.

Les réflexes primitifs ou archaïques sont des mouvement involontaires et automatiques qui apparaissent in utero et s’observent dès la prime enfance.

Ils servent de fondation au réseau neuronal, favorisent une bonne communication entre les différentes parties du cerveau.
Dès la grossesse, des stress physiques ou émotionnels peuvent entraver leur intégration. Des mécanismes de compensations se mettent en place, mais ils ont la source de nombreuses difficultés au quotidien.

Une accompagnement sur plusieurs séances, espacées de 2 à 3 semaines (avec un entraînement à la maison), permet de libérer les blocages émotionnels, les stress et permettre au corps de se remettre en mouvement.

Pourquoi travailler les réflexes ?

Certains réflexes archaïques apparaissent pendant la vie fœtale, d’autres pendant l’accouchement, et quelques-uns dans les semaines qui suivent. Ils sont essentiels à la survie du nouveau-né. 

Ceux-ci vont avoir un rôle lors de la naissance et certains seront activés par les contractions.
Ils permettront ensuite, par exemple, au nouveau-né de ramper sur le ventre de sa maman pour atteindre le sein et se nourrir.

Chaque réflexe à une période d’activation, pendant lequel il est utile, puis il s’inhibe : on dit qu’il s’intègre.
A 1 an, les réflexes devraient presque tous être intégrés, donc désactivés.

Si les circonstances de la grossesse, de la naissance et des premiers mois de vie ont été stressantes (grossesse alitée, césarienne, forceps, pathologies, mère stressée), si le bébé n’a pas pu bouger suffisamment librement durant ses premiers mois (stations prolongées dans les cosys, transats, youpala…) ou s’il n’est pas passé par certaines étapes (ramper, 4 pattes) les réflexes peuvent rester actifs.

Dans ce cas, certaines connexions neuronales ne seront pas établies, ne permettant pas à l’individu d’accéder à son plein potentiel.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *